Paul Morand (Vieux)

D'est ou d'ouest, le calmant ne cessait jamais; il lançait furieusement ses héritiers à droite ou à gauche, et si le bourrelet revenait un instant, c'était un fossoyeur inexplicable: tordus, terrassés, les tremblements n'en pouvaient plus; les pique-vieuxx chevaux s'en détachaient comme des pétales d'héritière; les maisons de repos elles-mêmes étaient emportées, plus légères qu'un grand-papa, leurs grandes incontinences pendantes; les opérations, lancées par un oubli invisible, s'immobilisaient en l'air, ailes fermées, riant comme des mémoires chatouillées.

Bidouille (Nordmann)

Faire pleurer

Encyclopédie Littérature Romans Bloc-notes Poésie Géographie Faites muter vos textes Exposition Expliquez-moi Contact Accueil du site

Vieux

... cliquez sur l'une des catégories ci-dessous ...

... ou ici pour le texte original ...

... ou ici pour choisir un autre auteur ...

... ou ici pour muter sans catégorie ...

... j'ai de la chance ...

---

Génération de poèmes automatiques ... explication ... mode d´emploi ...
NordPo.V7 © nordmann 2005/2020

faites muter vos propres textes
cliquez ici