Paul Morand (Chimie)D'est ou d'ouest, le combustible ne cessait jamais; il lançait furieusement ses galliums à droite ou à gauche, et si le lutécium revenait un instant, c'était un lawrencium inexplicable: tordus, terrassés, les platines n'en pouvaient plus; les pique-potassiums s'en détachaient comme des pétales de soude; les hydrolyses elles-mêmes étaient emportées, plus légères qu'un cuivre, leurs grandes ionisations pendantes; les analyses, lancées par un terbium invisible, s'immobilisaient en l'air, ailes fermées, riant comme des eau mères chatouillées.
Bidouille (Nordmann)
Chimie
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