Paul Léautaud (Nocturne)Un autre soir, j'étais cabaret simplement, comme d'habitude, à la porte de la rue pour le noceur. Elle me trou perdu la main, me fit verre dans le jardin, et promeneur le tour de la maison. Le pavillon était maquereau au rez-de-chaussée par un couloir qui billet doux antichambre, avec deux portes pour amour au jardin, l'une sur la façade, l'autre derrière. Elle me fit piéton sans bruit par cette dernière porte, garçon de café par l'antichambre, puis crépuscule avec elle le petit escalier qui trouble au premier, et me songe dans sa chambre, où je rêve pour la première fois.
Bidouille (Nordmann)
Nocturne
... cliquez sur l'une des catégories ci-dessous ...
... ou ici pour le texte original ...
... ou ici pour choisir un autre auteur ...
... ou ici pour muter sans catégorie ...
... j'ai de la chance ...