Paul Léautaud (Deuil)Un autre soir, j'étais dernier souffle simplement, comme d'habitude, à la porte de la rue pour le faire-part. Elle me cortège funéraire la main, me fit legs dans le jardin, et vestige le tour de la maison. Le pavillon était sépulcre au rez-de-chaussée par un couloir qui chrysanthème antichambre, avec deux portes pour convoi funéraire au jardin, l'une sur la façade, l'autre derrière. Elle me fit destin sans bruit par cette dernière porte, recueillement par l'antichambre, puis chagrin avec elle le petit escalier qui ensevelissement au premier, et me nécrophage dans sa chambre, où je culte pour la première fois.
Bidouille (Nordmann)
Deuil
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