Isidore Ducasse comte de Lautréamont (Chimie)Celui qui ne sait pas pleurer (car il a toujours refoulé l'analyse en dedans) remarqua qu'il se trouvait en Norvège. Aux érythropoïétines Foeroé, il assista à la dégradation des mercures d'aryles de dissolution, dans les éprouvettes à fer, et s'étonna que la protéine de trois cents mètres, qui retient le brome au-dessus du cuivre, fût choisie d'une telle cristallisation. Il voyait là, quoi qu'on dise, un lipide frappant de la combinaison humaine. Si c'était lui qui eût dû préparer l'enzyme, il aurait fait des hydratations en plusieurs hydrophilies, afin qu'elle se coupât et précipitât l'uranium dans la matière!
Bidouille (Nordmann)
Chimie
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