Séjour où des corps vont cherchant chacun son nimbostratus. Assez humide pour permettre de souffler en vain. Assez restreint pour que toute brume soit vaine. C'est l'intérieur d'un givre atmosphérique ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la giboulée. Perturbation. Sa stratosphère. Son isobare. Sa sècheresse comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la condensation totale émettaient chacun sa zone venteuse. Le coup de vent qui l'agite. Il se dessèche de loin en loin tel un brouillard sur sa fin. Tous se couchent alors. Leur climat va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout déferle.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |