Séjour où des corps vont cherchant chacun son esprit. Assez loquace pour permettre de parler en vain. Assez restreint pour que toute élucubration soit vaine. C'est l'intérieur d'un propos grivois épuisant ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour l'histoire. Râleuse. Sa faconde. Son bafouillis. Sa calembredaine comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de l'embrouille totale émettaient chacun sa commère. L'argument qui l'agite. Il se raconte de loin en loin tel un racontar sur sa fin. Tous se taisent alors. Leur ronchonneur va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout réfléchit.
Bidouille (Nordmann)
| faites muter vos textes |
le fil info |
| géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
| nos romans |
| encre |
menu |
| contact |