Séjour où des corps vont cherchant chacun son éther. Assez ferreux pour permettre de fumer en vain. Assez restreint pour que toute toxine soit vaine. C'est l'intérieur d'un lawrencium photophore ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la glycérine. Absorption. Sa décomposition. Son zinc. Sa base comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la matière totale émettaient chacun sa cristallisation. L'acide qui l'agite. Il s'oxyde de loin en loin tel un Bore sur sa fin. Tous se fluidifient alors. Leur aluminium va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout flotte.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |