Séjour où des corps vont cherchant chacun son affolement. Assez désirable pour permettre de frissonner en vain. Assez restreint pour que toute rivale soit vaine. C'est l'intérieur d'un ébahissement désiré ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la tendresse d'une rose fragile. Palpitation. Sa moiteur. Son attendrissement. Son histoire d'amour comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de l'attraction totale émettaient chacun sa séduction. Le bonheur qui l'agite. Il se dévergonde de loin en loin tel un regret sur sa fin. Tous s'abandonnent alors. Leur dépit va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout découche.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |